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MONTRÉAL – Un autre jour, une autre pratique pour les Alouettes. Voici les derniers développements de l’entraîneur Higgins suite à une froide journée au Stade Hébert à Saint-Léonard.
Les blessures et l’alignement: Il y a plusieurs possibilités. L’AD Aaron Lavarias est définitivement mis de côté pour la rencontre de dimanche. Le PB Tyrell Sutton sera une décision de dernière minute, ainsi que le spécialiste des retours de botté James Rodgers. Considérant qu’il a pratiqué toute la semaine, il est probable de voir le DC Geoff Tisdale sur le terrain lors de la demi-finale de l’Est.
Le quart-arrière Jonathan Crompton: L’entraîneur Higgins a dit que le jeune quart a continué d’évolué au fil de la saison. Sa meilleure qualité? Son leadership — ses coéquipiers croient en lui, il est confiant, et sa fiche de 8-2 en tant que quart partant nous le prouve.
La préparation des Lions: Il est important de bien identifier les joueurs clés adverses. En tout temps, nous devons être conscients de la position de ces joueurs sur le terrain. Deux bonnes défensives s’affronteront, mais les partisans ne devraient pas s’attendre à un match défensif.
Sur la progression du receveur Duron Carter: Selon l’entraîneur chef Tom Higgins, l’entraîneur des receveurs Turk Schonert, qui a rejoint l’équipe en tant que consultant durant la saison, a joué un rôle prépondérant dans la fulgurante progression qu’a connu Duron Carter. Toujours selon l’entraîneur chef, Schonert a su inculquer un meilleur sens des responsabilités à Carter tout en l’encourageant constamment à repousser ses limites. Schonert a également insisté sur la précision dans l’exécution des tracés: cet élément a grandement facilité le développement de la relation entre Carter et Crompton, alors que les deux athlètes ne se connaissaient pas avant la mi- saison.
Rester calme en tout temps: Les Alouettes ont débuté la saison avec une fiche de 1 – 8. Malgré tout, Tom Higgins affirme que son message à l’équipe n’a jamais changé. Selon lui, l’équipe sait désormais ce qu’il faut faire pour gagner. L’entraîneur-chef est reconnu pour mettre de l’avant les points positifs, et ce, même quand ceux-ci semble inexistants.
