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MONTRÉAL – Nous avons accroché le secondeur de 27 ans des Alouettes Winston Venable après la pratique vendredi au Stade Hébert.
Depuis le début du mois de septembre, tes performances sont épatantes! 21 plaqués lors de tes 4 derniers matchs. As-tu quoi attribues-tu ces chiffres?
Je passe plus de temps sur le terrain, simplement. Je crois qu’il y a une corrélation entre mon nombre de plaqués et le nombre de jeux auxquels je participe. Plus je joue, plus je suis en mesure de contribuer.
Ton père (Max) et ton frère (Will) seront tous deux dans l’assistance pour le match ce lundi. Les Venables sont reconnus dans le sport professionnel: ton père au baseball (incluant un arrêt chez les Expos en 1984) et ton frère est actuellement employé par les Padres de San Diego. Ont-ils eu un impact sur ton choix de carrière?
Je suis en contact avec eux à chaque jour (rire). Ils ont définitivement eu une grande influence sur ma vie. Mon père: le voir travailler fort pour devenir un athlète professionnel. Mon frère: le voir suivre les traces de mon père. Le fait que je sois près de mon frère et mon père m’a motivé — m’a poussé à faire partie de ce monde.
Quels aspects de ton jeu as-tu modifiés lorsque tu as quitté la NFL pour débarquer dans la LCF, il y a quelques années?
Je crois que la couverture homme à homme serait la réponse la plus évidente. Avant la LCF, je n’avais jamais réellement fait de couverture, donc j’ai dû apprendre rapidement.
En 2010, tu as solidement plaqué James Rodgers lors d’un match opposant Boise State et Oregon State. En avez-vous discuté maintenant que vous êtes coéquipiers?
(rire) La première fois que Rodgers est venu à l’entraînement, je l’ai reconnu immédiatement. Je ne crois pas qu’il avait son chandail, mais je me suis dit: ‘’ce visage me semble familier’’. Lors de la pratique suivant, il avait son chandail avec son nom et je l’ai reconnu. J’ai été le voir dans le vestiaire et je me suis excusé…en quelque sorte.. (rire)!
